Face à un couteau.
La fuite reste la meilleure solution.
Le plus
rapidement possible, debout et sans
acrobatie. Il est impératif d’éviter le contact avec le métal. L’option de la
fuite se réalisera si le risque de se faire poursuivre, rattraper puis poignarder
dans le dos est nul.
En espace clos et restreint, ou quand la fuite est
impossible, Se mettre dos au sol utilisé les jambes en mode pédalage pour
combattre avec ces pieds dans le but de
repousser les attaques et maintenir la distance.
•Accéder à son arme, gaz, ou son arme improvisée.
•Crier pour alerter.
Dans cette configuration seuls les pieds et les tibias
seront exposés.
Donc si des coups sont portés les blessures ne seront pas
immédiatement létales.
Juste un truc facile pour illustrer un des avantages de ce
concept: mettez-vous face à un partenaire, celui-ci tend le bras avec son
traîner.
Estimez la distance qui sépare les zones vitales (abdomen,
gorge, etc...) du couteau.
Sans bouger de position, descendez au sol et estimez la
distance qui sépare maintenant vos "zones vitales" de la lame...
Le but de la manœuvre est de gagner les 2-5 secondes de
temps permettant d'accéder de manière sûre à son arme (arme à feu, gaz, autre),
tenter de faire fuir l’agresseur en criant , tout en limitant le risque de
blessures sévères sur les points vitaux les plus dangereux (cou, tête, torse,
reins).
Distance très courte, mise au sol impossible : ex dos au mur.
En espace clos et restreint, impossibilité d’aller au sol,
il est primordial de ne laisser aucune
distance, d'entrer au clinch avec saisie ou pas du bras armé pour en limiter au
maximum l'amplitude éventuelle de mouvement.
La seule chose qui changera la donne sera la qualité de ta
contre-attaque".
Que tu bloques, dévies ou agrippe le bras armé, tout ce que
tu fais c'est de réduire le risque de te faire planter (momentanément). Réduire est le mot capital. La seule façon d’éliminer le risque, c'est
que l’agresseur ne puisse plus frapper
avec son arme. L’unique issue : une
attaque violente, brutale, et précise
dès que possible.
Les lames courtes sont capables de pénétrer de 8 à 10 cm
dans l'abdomen.
3 centimètres permettent la traversée de la cage thoracique.
4 centimètres permettent d'atteindre le cœur.
Compte tenu de la petite surface de contact du couteau, la
pression monte à des centaines de kilos par centimètre carré.
Une ogive pénètre le corps… une lame occasionne une blessure
à l’impact puis une deuxième quand elle est retirée.
Attention aux
techniques poétique matérialisées par un attaquant trop passif et
peu inventif.
Ps :
Matos qu’on utilise couteau électrique qui stimuler une
blessure…(ça pique fort) la déjà le mec en face il ne réagit pas du tout de la
même manière qu’avec les traîners en caoutchoucs.
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